Nicky, Phil Et Moi ; Vacances Inattendues… (1)

Et si on emmenait Phil en vacances avec nous ?
Cette phrase anodine, prononcée par Nicky, allait changer notre vie….
Phil (Philippe) c’est mon frère, 17 ans à l’époque des faits et Nicky (Nicole) c’est ma jeune femme. Nous étions mariés depuis 2 ans.
- C’est vrai, tes parents ne partent pas en vacances cette année, il va rester tout seul dans la cité tout l’été…
Nous avions une grande location en Espagne et il y avait de la place pour lui.
En accord avec les parents et Phil, c’est décidé, il vient avec nous.
1ère semaine, tout va bien, on a trouvé une petite plage près de l’appart, peu de monde, sable fin…
Le soir on regarde tous la télé (heureusement on capte une chaine française !) puis chacun regagne sa chambre. Nicky et moi, nous baisons souvent, sans faire trop de bruit pour pas alerter Phil.
Un soir, je ne sais pas pourquoi, pendant le film, je caresse une cuisse de Nicky qui est assise entre mon frère et moi. Elle se laisse faire au début et ma main remonte sur le haut de la cuisse.
-Alian, arrête, Phil est à côté !
-Et alors, il faut qu’il fasse son éducation !
-Ca me gêne…. (mais elle n’enlève pas ma main qui a déviée entre ses cuisses…).
Visiblement, Phil l’air de rien n’en perd pas une miette et mate sa belle-sœur.
Nicky écarte un peu les jambes pour laisser l’accès à ma main. Je passe un doigt sous l’élastique de la culotte et je commence à caresser la chatte de ma chérie. Nicky m’embrasse alors à pleine bouche, ignorant totalement Phil. Je m’attaque maintenant au corsage de ma femme que je déboutonne entièrement. Je lui pelote les seins, d’abord par-dessus le soutif, puis je sors un nibard de son bonnet et je le pétris, étirant le téton puis le roulant entre mes doigts. Nicky oublie la présence de Phil et dégrafe elle-même son soutif. Phil peut ainsi voir les 2 magnifiques nichons de ma femme. 2 belles poires qui pointent fièrement. Ils ne sont pas très gros, mais ils sont bien fermes, avec de petites aréoles brunâtres et de beaux tétons.

Je demande à Phil : tu avais déjà vu des seins ?
-Oui, dans des magazines, et cet après-midi à la plage… Mais jamais d’aussi près.
Nicky me surprend en se mettant torse nu : alors profites-en, mate-les bien ! et elle se tourne vers mon frère.
-et ment, tu n’as jamais touché des seins ? que je demande…
-Ben non, juste maté sur la plage…
-Nicky chérie, tu veux bien qu’il te les caresse un peu ?
Sans répondre, Nicky prend la main droite de Phil et la pose sur un nibard. Phil n’ose pas bouger et c’est ma femme qui lui dit de les caresser. Le frangin apprend vite et il pose sa main gauche sur l’autre mamelle et commence à malaxer les roberts de ma chérie. Nicky a toujours eut les seins très sensibles et sous les caresses de Phil les tétons durcissent et gonflent à vue d’œil ! Elle ferme les yeux et geint doucement. Je la connais bien, je suis sûr que sa culotte est mouillée.
-Embrasse-les, suce-les… Vas-y Phil….
Phil me regarde : je peux ?
-Ben puisqu’elle te le demande… Ne la fait pas attendre…
Pour un novice, il se débrouille bien. Il aspire les tétons, il les tête comme un bébé, il titille les pointes déjà bien irisées avec sa langue. Nicky est aux anges. Elle a passé une main sur la nuque de Phil et elle maintient fermement sa tête sur sa poitrine. Phil lèche les seins, les pétris, malaxe, écrase, mordille des tétons…
-Oups !!! Doucement Phil ! Ne les martyrisent pas quand même ! C’est fragile ces petites choses-là !
Elle se dégage lentement et regarde Phil dans les yeux :
-Tu as déjà embrassé une fille sur la bouche ?
-Ben oui, quand même !
-J’veux dire, avec la langue ?
-Oui bien sûr !
-Montre-moi comment tu fais.
Phil pose ses lèvres sur celles de Nicky et sa langue pénètre dans sa bouche. Ils échangent un long et langoureux baiser.
-Hummm, pas mal du tout ! Mais Phil quand tu roules un patin à une gonzesse, y a pas que ta langue qui doit être active… Tes mains aussi… On aime bien être caressées surtout quand on est à moitié nues comme moi en ce moment…
Phil a vite compris l’invitation et tandis qu’ils s’embrassent à nouveau, il lui caresse le dos, les seins. Nicky prend une main de Phil et la pose en haut d’une cuisse…
-Soit plus entreprenant Phil, il faut faire comprendre à la fille que tu la désires…
-Comment ça ?
-Ne soit pas bête ! Caresse mes fesses et pas par-dessus la culotte. Glisse tes doigts dedans ! Et si elle te gène…..Ote-là !
Phil n’en croit pas ses oreilles, ma femme vient tout simplement lui demander de lui virer son slip ! Il rougit comme un gamin pris en faute et me regarde abasourdi.
-Qu’est-ce que tu attends ? Elle ne te plait pas ? Tu vas la vexer si tu le ne fais pas. Allez courage frérot.
Philippe pose ses mains sur la culotte de Nicky, il hésite encore un peu.
-Bon je t’aide un peu… pour cette fois.
Ce disant, Nicole se redresse un peu, elle dégrafe sa petite jupette qu’elle enlève.
-Allez, pour le reste, à toi de jouer !
Cette fois-ci, mon frère ne se fait plus prier. La vue sa belle-sœur en petite culotte l’excite vraiment. Il att le haut du slip et le fait descendre, dévoilant la foufoune de Nicole. La culotte est maintenant à mi-cuisses. Nicole finit d’enlever elle-même le bout de tissu qui l’entrave et écarte les cuisses, dévoilant son intimité au regard de Phil.
Nicky a une toison assez fournie, taillée courte, brune et bouclée, dissimulant à peine une petite fente étroite, courte et serrée. Sans rien demander à personne, Le frangin vient caresser cette foufoune qu’il voit pour la première fois. Nicky écarte ses grandes lèvres et offre à Phil la vision de sa chatte déjà bien humide. Phil glisse un doigt dans le vagin de ma femme qui râle de plaisir.
-Viens Phil, embrasse ma chatte, broute-moi le minou, fouille-moi, fais-moi jouir….
Je n’avais jamais vu ma femme comme cà. Je bandais comme un cerf en voyant mon propre frère lécher l’abricot de Nicole. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Nicky a baissé le short et le slip de mon frangin et s’est mise à le branler. Phil était aux anges. Sa langue fouillait le con de Nicky, profondément, puis il s’est attaqué au clito qu’il a titillé savamment. Pour un novice il se débrouillait bien le frérot ! Nichy, elle, continuait d’astiquer la queue de Phil.
-Wahou !!! Il en a une plus grosse toi mon chéri. Ton frère est monté comme un âne. Je jouiiiiiii !!!
Phil au même moment n’a pu se retenir et à lâcher sa purée dans la main de ma salope d’épouse.
-Oufff, c’est bon pour ce soir ! Allez Phil, au dodo, maintenant j’ai envie de baiser avec mon homme ! Garde ma culotte, je te l’offre !
Nicole s’est levée, nue, elle a embrassé Phil sur la bouche et on est parti dans notre chambre. Phil a senti un peu le slip de ma petite salope de femme…
-Ne ferme pas la porte… (Décidemment Nicky est une vraie cochonne ce soir !).
Sitôt dans notre chambre, ma femme m’a roulé un patin puis est descendue en me léchant jusqu’au short qu’elle a rapidement fait glisser, avec mon slip jusqu’aux chevilles et a commencé une fellation divine. Elle léchait ma hampe des bourses jusqu’au gland qu’elle a décalotté avant de l’enfourner jusqu’au fond de la gorge. Ma queue était tendue à l’extrême et quand elle a gobé une couille j’ai cru que l’allais exploser.
-Eh doucement, pas déjà, ton foutre c’est dans ma chatte que je le veux…
En jetant un œil vers la porte de la chambre, j’ai aperçu Phil que matait la scène. Un clin d’œil dans sa direction et j’ai positionné Nicky de façon à ce qu’il ne manque rien.
- Baises-moi mon amour… J’ai envie de sentir ta bite dans mon con…
-Tout de suite mon ange, on sort le grand jeu car Phil regarde…
-Ouiiii, pilonnes-moi à fond !
J’ai installé ma chérie au bord du lit, cuisses largement ouvertes et j’ai commencé à lui fouiller la chatte. Elle mouillait comme une fontaine. Philippe écarquillait les yeux devant la scène qui s’offrait à lui et se branlait en même temps. Sentant que je ne tiendrais pas longtemps, j’ai enfilé Nicole d’un coup sec, et j’ai commencé de violents va-et-vient dans sa cramouille béante. Elle criait de plaisir, ne cherchant même pas à se retenir. Au contraire de savoir que son beauf était derrière la porte l’excitait encore plus.
-Ouiiii… c’est bonnnn…. Plus fort….. Plus loiiinnnnnn…. Bourres-moi la chatte ! Je vais jouir !

Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et j’ai lâché 5 ou 6 jets de purée épaisse dans la fente de ma salope.
On s’est écroulé tous le deux, pour reprendre nos esprits et on a entendu Phil qui regagnait sa chambre.
Cette journée spéciale s’est terminée ainsi, mais c’était la première d’une longue série que je vous raconterais bientôt….